Les présidents des EPF, de la conférence des recteurs (Antonio Loprieno) et du FNS (Martin Vetterli), sont venus exprimer leur souci auprès des conseillers fédéraux suite aux sanctions de l’UE. A l’instar de M. Antonio Loprieno, les présidents des grandes écoles veulent rester optimistes et demandent à ce que des solutions transitoires soient trouvées. Néanmoins, la fermeté de l’UE laisse peu de chances à des solutions intermédiaires en matière de libre circulation des personnes.
En cas de blocage, l’hypothèse la plus plausible consisterait à un retour au statut antérieur, celui de pays tiers. La Suisse a connu ce régime jusqu’en 2004, année où elle a gagné le statut de pays associé. Dans l’ancien système, Berne complétait les sommes qui auraient dû être versées par Bruxelles. Et les universités suisses ne pouvaient pas diriger de projets de recherche.
Source: Le Temps
Illustration de Chapatte tirée de la NZZ am Sontag
Le classement des uni suisse est au top. Se laissera-t-on malmener par tout sauf ce qui ressemble à de la démocratie. Pourquoi toutes ces menaces politiques? Les technocrates videurs de caisses publique, craignent-ils pour leurs privilèges? Suivons les élections européennes qui arrivent. Il y aura probablement quelques réponses….En attendant c’est du courage et de la fermeté que nous attendons de nos responsables politique. Cordialement