Quand les hackers piratent le vivant

Quand les hackers piratent le vivant

Loin des laboratoires ultramodernes et des ateliers de développement des multinationales, les nouvelles technologies s’inventent et se vivent aussi entre bidouilleurs passionnés. Après le logiciel libre ou l’impression 3D, c’est maintenant au tour des sciences du vivant de descendre dans des labos communautaires remplis de machines bricolées et de matériel de seconde main. Ou quand le génie génétique rencontre la culture Open-Source.

Sur le modèle des «Hackerspace» (les ateliers tout équipés pour les bricoleurs informatiques), des «Biohackerspace» s’ouvrent un peu partout sur la planète. Les amateurs y pratiquent le «DIY bio» (abréviation de «Do It Yourself Biology»), réalisant une foule de projets à la croisée de la biologie, de la chimie, de l’ingénierie et de l’informatique.

Plus

Leave a reply