Ravi de lire que nos écoles polytechniques reconsidèrent leur intention de taxer les étudiants étrangers et reconnaissent qu’ils ne sont pas des « vaches à lait », mais de vrais vecteurs de prospérité. Rappelons que la Suisse, tout innovante qu’elle repose sur un socle de population infime et que notre force est dans l’intégration et l’ouverture
