Suite à la votation du 9 février, les programmes de recherche et le système d’échanges Erasmus gelés, la situation devient-elle préoccupante pour le campus sédunois se demande le Nouvelliste. A Sion, tout devrait être fin prêt pour accueillir, dès la rentrée prochaine, les premiers chercheurs du pôle EPFL Valais/Wallis. Ces scientifiques du monde entier sont supposés travailler sur des programmes de recherche qui dépassent largement le seul cadre régional ou national. Tel le huitième programme de collaboration, intitulé Horizon 2020, ces projets dépendent en effet souvent d’un financement de l’Union européenne. Pour l’heure, la participation de la Suisse à ce programme est suspendue. Le directeur opérationnel du pôle valaisan, Marc-André Berclaz s’en inquiète… et partage ses réflexions.
Source: Le Nouvelliste