Le clin d’oeil de PECUB: Faute fatale

Le clin d’oeil de PECUB: Faute fatale

L’industrialisation de la pensée humaine est une faute fatale. La nature aura mis des millions d’années à faire évoluer la vie dans la beauté des équilibres. Et puis l’homme dit : « je peux faire mieux ». Cupidité, vanité, stupidité, ou encore une autre qualité inconnue à ce jour ?

Avec de l’acier, du cobalt, du silicium, des photons, des électrons, de l’or et de l’argent, il est possible de faire du cerveau artificiel à vendre et à survendre. Le prochain gros business, peut-être le dernier. Nous aurons vendu notre âme au diable pour du pécunier comptable.

On n’arrête pas le progrès ? Si ce progrès consiste à nier la nature, il met la vie en danger. Et là, le clairvoyant commence à avoir peur. Les mots de Gandhi doivent revenir en mémoire vive, « l’homme a fait la machine, l’homme s’est fait machine, il fonctionne, il ne vit plus ».

Les milliards et les ressources déjà investies dans l’industrialisation de la pensée humaine rendent le processus irréversible. En effet, impossible de dire que l’on a fait fausse route et de perdre tout cet argent. Convaincre les populations que c’est le choix du progrès étant chose facile, nous avons fait un grand pas vers le néant.

Comme c’est un ignorant qui avance ces propos, rien de bien sérieux. Regardons pour voir…

Pécub

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