Produites en masse, souvent de mauvaise qualité, les données de santé peinent trop souvent à éclairer la prise de décision en santé publique. C’est le constat d’une équipe de chercheurs suisses qui plaident pour penser en termes de «slow data».

Produites en masse, souvent de mauvaise qualité, les données de santé peinent trop souvent à éclairer la prise de décision en santé publique. C’est le constat d’une équipe de chercheurs suisses qui plaident pour penser en termes de «slow data».