Le clin d’oeil de PECUB: L’intelligence est dans le gras

Le clin d’oeil de PECUB: L’intelligence est dans le gras

Les adorateurs compulsifs du neurone absolu ne vont pas aimer. Les éclusiers de la synapse non plus. Les maigres vont se fâcher. Les rondouillets vont adorer. Apparait une nouvelle vérité. L’intelligence est dans le gras. C’est dans le gras que s’effectue le travail intellectuel. Evidence de l’expérience.

Les vérités ne durent qu’un moment. Cependant le « Bauch Gefühl » des allemands résiste depuis bien longtemps. Le ressenti du ventre, le cerveau de premier recours, le stress gagnant, l’instinct du vieux renard. Le belly thinking. Dans le neurone, long tube tranquille, les informations ne font que passer. Elles s’en échappent très vite et vont se perdre dans le gras. Tout est dit. C’est dans le gras que les informations vont se mélanger, se décomposer, se recomposer, se recombiner, se transformer, émettre des idées. Tout le gras du corps est connecté, la gliemasse. Les neurones nagent dans la gliemasse, la masse de matière gliale et grasse.

Le Vinci nous aura dit, découvrir, comparer, transformer, aller plus loin. Ce chemin c’est celui d’apprendre à patauger par objectif dans le datacenter corporel. Le génie, ou tout au moins l’intelligence naturelle. Et de continuer avec Jean Piaget qui nous confirme jour après jour que l’intelligence cela n’est pas ce que l’on sait, l’intelligence c’est ce que l’on fait quand l’on ne sait pas.

Une fois cassé l’arbitraire du neurone tout puissant, osons faire le pas du gras. Les informations entrent par les yeux, les oreilles, la peau. Elles circulent dans la plomberie neuronale quelques nano secondes et puis elles vont se disperser irrémédiablement dans la matière gliale. C’est là qu’il faut chercher, dans le gras.

Les sportifs développent le muscle, les glandouilleurs développent le gras.

Le débat commence.

Pécub

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