Selon les premières données, une piste prometteuse pourrait permettre d’atténuer certaines douleurs chroniques et améliorer la qualité de vie des patients.
Actuellement, la prise en charge de la fibromyalgie repose sur une stratégie pluridisciplinaire : activités physiques adaptées, soutien psychologique, éducation thérapeutique, éventuellement des traitements médicamenteux pour soulager les symptômes — sans traitement universel ni remède définitif. Les recommandations récentes insistent sur l’importance de reconnaître la réalité de la souffrance des patients et de proposer une prise en charge globale tenant compte de la variabilité des symptômes.
La nouveauté évoquée concerne notamment des techniques de neuromodulation : certaines études explorent l’usage d’ondes millimétriques ou de stimulations nerveuses non invasives pour réduire la perception de la douleur chez les malades. Si ces méthodes sont encourageantes, elles ne constituent pas encore une solution validée universellement — elles peuvent toutefois compléter les traitements et améliorer le confort.
En conclusion, cette nouvelle voie de recherche permet de nourrir un certain espoir pour les personnes atteintes de fibromyalgie. Mais en l’absence de preuves robustes et de validation à grande échelle, elle doit être envisagée comme une option potentielle — à combiner avec les autres mesures de prise en charge et sous supervision médicale attentive.