Candidat à de futurs systèmes de sécurité sur internet, un protocole basé sur les «logarithmes discrets» a été mis sur la touche par des chercheurs de l’EPFL. Réputé inviolable, il ne résisterait en fait que deux heures aux machines de l’Ecole.

Candidat à de futurs systèmes de sécurité sur internet, un protocole basé sur les «logarithmes discrets» a été mis sur la touche par des chercheurs de l’EPFL. Réputé inviolable, il ne résisterait en fait que deux heures aux machines de l’Ecole.