Face aux contraintes de la prise répétée de médicaments dans la maladie de Parkinson, la recherche explore des alternatives innovantes pour libérer les patients des prises multiples de lévodopa. Aujourd’hui, des pompes telles que Duodopa permettent déjà une administration continue du traitement via l’intestin, et des systèmes portables délivrent des agonistes dopaminergiques comme l’apomorphine.
Mais la science va plus loin : des implants biodégradables injectables, des patchs à libération contrôlée et même des nanoparticules sont à l’étude pour assurer un apport régulier de dopamine sans intervention quotidienne. Certaines approches testent également l’injection directe de dopamine dans le cerveau ou la thérapie génique utilisant des cellules souches et des vecteurs viraux.
Ces avancées pourraient révolutionner la qualité de vie des malades, en garantissant une stabilité des symptômes tout en allégeant la routine médicamenteuse.