Les hommes dont les niveaux d’urate encore appelée acide urique, étaient les plus élevés, avaient près de 40% moins de risques de développer cette maladie dégénérative incurable que ceux dont les niveaux étaient les plus bas, ont conclu ces chercheurs en analysant trois études comprenant plus de 90’000 participants.
Leurs travaux paraissent dans la version en ligne de Neurology, la revue médicale de l’American Academy of Neurology…
Source: Tribune de Genève