Le premier groupe bâlois détenait un tiers des titres au porteur du second depuis une vingtaine d’années. Il veut désormais s’en séparer pour des questions «stratégiques». L’opération doit lui rapporter 14 milliards de francs

Le premier groupe bâlois détenait un tiers des titres au porteur du second depuis une vingtaine d’années. Il veut désormais s’en séparer pour des questions «stratégiques». L’opération doit lui rapporter 14 milliards de francs