«Devenir président de l’EPFL, c’est d’abord un changement de rythme. Il y a des différences avec ma vie d’avant, sans que ce soit un changement total. De manière formelle, je suis entré en fonction le 2 janvier. Mais nous avions, dès l’automne, une sorte de cabinet de l’ombre afin de préparer le changement de présidence. Nous avons tenu des réunions chaque semaine avec l’équipe qui allait prendre la relève, que j’ai formée en grande partie à l’automne.
