Le futur c’est la cryptomonnaie. Trois ou quatre ans, dix tout au plus, et puis cela sera le tour de la monnaie quantique. Les pièces d’or de bronze ou d’argent avaient en leur temps remplacé les sacs de sel et les coquillages. A leur tour les billets ont perdu face à l’argent plastique. Avec la cryptomonnaie nous voilà dans le virtuel insaisissable. Quoi après la spéculation sur le vide ?
Nous remettrons les pieds sur la raison à la venue de la monnaie quantique. L’électron, le positron, le photon. L’électron et le positron ont la même masse, mais une charge électrique opposée. Isolées, ces particules sont stables et ne se désintègrent pas. Une valeur sûre à l’épreuve du temps. Quand un électron et un positron se rencontrent ils s’annihilent et donnent des photons. Quand les électrons se déplacent dans certains matériaux, ils véhiculent le courant électrique. En raccourci, l’argent numérique c’est de l’électrodynamique quantique. Avec les propriétés physiques des supraconducteurs, il sera possible de faire circuler la monnaie quantique à zéro coût.
E=Mc2 d’Albert Einstein résume toute la pertinence de la future monnaie quantique. Elle frappe déjà à la porte des banques centrales vertueuses. La monnaie du futur c’est le courant électrique, elle commence déjà à fissurer les coûteux datacenters et les blockchaines de nœuds.
Dans quelques hivers, on payera en Planck, Einstein ou Albert.
Pecub