Selon la directrice romande de l’association faîtière de l’économie, les trois secteurs les plus touchés sont ceux tournés vers l’exportation, le tourisme et le commerce de détail dans les régions frontalières. «Sans oublier le secteur bancaire, qui subit, outre le franc fort, aussi les effets des taux d’intérêt négatifs».
Pour Cristina Gaggini, la région de l’arc lémanique serait la plus touchée par le ralentissement économique et par le franc fort. «La forte présence de sociétés multinationales – suisses et étrangères – rend en effet le tissu économique plus vulnérable aux incertitudes, qui se multiplient», explique-t-elle…
Source: Tribune de Genève