L’avènement de la médecine du Big Data exploitant notre matériel génétique est proche. Ses munitions: l’ADN de volontaires, stocké dans des biobanques en vue de percer les mystères de certaines maladies, prédire leur évolution et développer des traitements personnalisés. Comment assurer la protection de ces données hautement sensibles? Comment les mettre à disposition des chercheurs tout en rendant impossible l’identification du patient? Le sujet fait suer les spécialistes de la sécurité informatique aux quatre coins du monde.
Il a été abordé la semaine dernière à Lausanne lors du Symposium sur la génomique. «Protéger ces données est un défi gigantesque car elles sont extrêmement complexes, résume Jean-Pierre Hubaux….
Source: TdG