Algues, pois jaunes, okara, champignons, levure… la liste des produits destinés à remplacer les protéines animales s’allonge chaque jour, tout comme celle des acteurs qui veulent participer à ce marché. Celui-ci atteindra 140 milliards de dollars d’ici à dix ans, selon une estimation de la Banque Barclays. La Suisse se profile sur ce marché avec plusieurs projets solides.
