L’équipe de Vladimir Katanaev, professeur associé au Département de pharmacologie et de toxicologie de l’UNIL, a mis en évidence un processus moléculaire inédit, soupçonné d’être impliqué dans la forme la plus agressive du cancer du sein. Les travaux sont publiés dans l’édition de février 2014 de la revue «Molecular Cell».
