L’étude suisse menée par le WSL remet en question une hypothèse traditionnelle selon laquelle la réduction de la photosynthèse lors de températures élevées est due à une disponibilité réduite du CO2. Les résultats démontrent qu’il n’en est rien.

L’étude suisse menée par le WSL remet en question une hypothèse traditionnelle selon laquelle la réduction de la photosynthèse lors de températures élevées est due à une disponibilité réduite du CO2. Les résultats démontrent qu’il n’en est rien.