En moyenne, mettre au point un médicament coûte très cher (plus d’un milliard) mais surtout exige une quinzaine d’années de recherche. Face à de nouvelles maladies, telles que le post-COVID, aussi appelé «COVID long», on ne peut attendre et les médicaments existants ou en cours de développement sont autant d’opportunités tant pour le patient que pour la société qui les développe. L’exemple de GeNeuro SA que j’avais contribué à lancer il y a plusieurs années est illustratif. Son CEO, Martin Garcia nous explique les raisons d’espérer et illustre la nécessité de soutenir cette recherche translationnelle.
