N’êtes-vous pas habités d’une étrange sensation, celle d’une certaine agueusie estivale ? Nous sortons à peine d’une période fort particulière qui nous a enfermés des mois durant, qui a redéfini nos modes de travail… et nous voilà à l’orée des vacances estivales.
Les vacances, pour moi, c’est d’abord un changement d’activité, non pas qu’elles soient moins productives, moins actives, mais parce qu’elles offrent le luxe de pouvoir se ressourcer, de concrétiser quelques projets négligés, de se projeter vers la rentrée, demain, après-demain. Elles sont d’autant plus attendues que l’activité les précédant est intense et routinière. Rien de tout cela cette année, non pas que les mois qui nous tournent le dos aient été moins actifs, mais ils constituaient déjà un champ d’expérimentation, de redéfinition de processus, de redécouverte de ses activités. Alors les vacances n’en seront plus qu’un prolongement, s’ancrant dans une continuité…
Pour y trouver goût, un exhausteur de vacances sera-t-il nécessaire ?
Pas pour vous ? Alors excellentes vacances !