Johannes Gräff dont les projets de recherche au MIT ont suscité un grand intérêt dans le monde entier, a été le premier à montrer qu’un dysfonctionnement des mécanismes épigénétiques peut entraîner une perte de cellules nerveuses ainsi que des symptômes neurologiques tels que la démence. Actuellement postdoctorant au Massachusetts Institute of Technology (MIT) à Cambridge (Etats-Unis), il vient d’être nommé professeur assistant tenure track au sein de la faculté des Sciences de la vie de l’EPFL.