Les start-up suisses se font racheter les unes après les autres par des géants comme Intel, Apple ou récemment AMS. Si aucune ne parvient à grandir suffisamment, cela deviendra problématique. Faudrait-il apprendre aux entrepreneurs suisses à refuser des chèques ?
Je pense plutôt qu’il faudrait apprendre aux investisseurs suisses à prendre des risques et à imaginer les avantages que les start-up suisses peuvent engendrer.
Apprendre à refuser le chèque est un axe de réflexion tout autant qu’espérer que plus de chèques Suisses plutôt qu’outre atlantiques soient émis ?