Depuis quelques années les start-up suisses, et plus généralement européennes, ont moins de mal à trouver des fonds d’amorçage (jusqu’à 5 millions de francs) pour démarrer, le financement de leur expansion demeure difficile. On ne compte plus les entreprises qui doivent finalement se vendre, et pas toujours avec une réelle plus-value, à un grand groupe. Certaines déménagent même aux Etats-Unis pour trouver les 10 à 50 millions qui leur permettraient de grandir suffisamment, soit pour une vente dans de meilleures conditions, soit pour une introduction en bourse.