Les start-up suisses ne manquent pas de soutien mais les possibilités d’exit sont limitées

Les start-up suisses ne manquent pas de soutien mais les possibilités d’exit sont limitées

Différents experts du capital-risque, de la fintech et de la gestion de fortune ont échangé leurs vues lors de la troisième édition du Geneva WealthTech Forum qui s’est tenu cette semaine à Campus Biotech.

Dans quelles sortes d’entreprises travailleront les enfants qui grandissent en Suisse dans une vingtaine d’années? C’est à cette question qu’a tenté de répondre Ralph Mogicato, vice-président de SICTIC (Swiss ICT Investor Club), en introduction d’une présentation effectuée dans le cadre de la troisième édition du Geneva WealthTech qui s’est tenue mardi à Genève. Dans des multinationales? Ce n’est pas sûr qu’il y en ait encore autant à l’avenir, anticipe-t-il. Dans des banques? C’est peu probable, du fait qu’elles réduisent leurs effectifs, considère le vice-président de l’association qui met en lien start-up en phase d’amorçage ou initiale avec des investisseurs ou business angels. Selon l’expert, il y a certainement davantage de chances que beaucoup d’emplois seront créés dans les start-up ou les sociétés qui en résulteront.

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