«Ma vision est celle d’une ‘Health Valley’ sur l’Arc lémanique», a dit le président de l’EPFLdans une interview publiée samedi dans la Neue Zürcher Zeitung. Beaucoup de choses ont commencé à Stanford ou à Berkeley: Google et l’entreprise américaine de biotech Genentech, qui appartient à Roche, sortent de ce creuset.
Patrick Aebischer a la même ambition pour la Suisse romande. «Et nous voulons que le secteur privé investisse dans ce concept.»
Sur les 400 places d’enseignants à l’EPFL, 33 sont financées par des fondations. Et deux tiers d’entre elles le sont par l’économie privée.