Le clin d’oeil de PECUB: Inspider ability

Le clin d’oeil de PECUB: Inspider ability

La pensée d’Archimède s’organisait en spirale centrifuge à partir d’un point d’ancrage mental. « Donnez-moi un point fixe et je vous soulève le monde ». L’araignée Archimède (287-212 av. J.-C.) avait reçu de ses ancêtres la bonne pratique de fabrication de la toile à manger. Cette même spirale est le ressort naturel de recherche et développement en matière d’innovation.

A partir d’un point d’ancrage intellectuel ou sensoriel, apprendre à décocher des milliers de spirales de consultation de la mémoire. En cas de stress vital ou professionnel, c’est ce que le cerveau fait pour trouver au plus vite une solution. Le moteur de recherche glial n’est pas chaotique, il est spiral. Il a un objectif, une mission, une stratégie, une tactique, un engagement personnel, une procédure de prise de décision. Ce n’est pas du miracle, la nature a réfléchi le process.

La pensée réticulaire n’est pas plus compliquée qu’une simple toile d’araignée. Le point fixe au centre, et dans toutes les directions des vecteurs de savoirs et compétences. La spirale lancée va croiser toutes les informations utiles, inutiles, étranges, étonnantes, providentielles. A chaque spirale de recherche lancée, des croisements à étudier. Le génie est à la croisée des spirales.

Un prédicat semble à ce stade évident, plus on a de matière stockée dans la tête, plus on peut avoir des idées de génie. Le prédicat joint se fait une vanité d’affirmer qu’il n’y a dans la tête que ce que l’on y met. Avoir des idées n’est donc pas un don du ciel, mais un travail d’apprentissage. Un travail de captage et stockage d’informations, et un travail de gestion par objectif de la mémoire gliale. Un jeu d’enfant.

Vous n’imaginez pas tout ce qu’une piqûre d’araignée peut développer chez vous.

Pécub

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