L’enjeu aujourd’hui n’est plus de savoir comment sauver la planète, l’enjeu aujourd’hui et de savoir comment sauver l’humanité. L’activité imprévisible de notre environnement vital provoque émotions intenses, anxiétés paralysantes et stress violents. Volcans, inondations, ouragans, catastrophes thermiques, pollutions endémiques, grippes aviaires, maladies génétiques, bactéries increvables, tsunamis financiers, eau potable en voie de disparition, pestes, famines et choléras, plus tous les désastres désespérants en voie d’apparition.
Qui accuser pour se désengager du problème ?
Ne prenons pas ce chemin de facilité, une sortie de crise est possible. Confions à nos génies qui veulent travailler, toutes nos ressources et toutes nos confiances. Plus de sciences essentielles et moins de divertissements stériles.
Nos nerfs végétatifs et notre glande médullosurrénale sécrètent une substance magique, qui accélère notre rythme cardiaque, qui augmente la pression artérielle, élève la glycémie et par là catalyse l’activité intellectuelle. L’imaginéphrine ou plus communément, l’Eurêkadrénaline. L’hormone neurophysiologique qui booste notre inventivité.
Nous avons trouvé. Nous sommes sauvés.
En fonction de l’urgence de leurs pertinences, l’Eurêkadrénaline stimulera la poussée des idées salvatrices selon les lois d’Archimède, du caché vers le visible, de l’impensable vers le réalisable. Le stress de la fin du monde ne sera bientôt qu’un triste souvenir.
Vive les chercheurs et vive la science !
Pécub