Le Clin d’œil de PECUB : Capital virtuel augmenté

Le Clin d’œil de PECUB : Capital virtuel augmenté

Les « fake news » ne sont rien d’autre que notre bon vieux « prêcher le faux pour obtenir le vrai ». Pourquoi quand la formulation est en américain sommes-nous comme hypnotisés ? Parce que les américains fabriquent de l’argent. Et que l’argent nous hypnotise. Salvador Dali, Thomas Edison, Albert Einstein, Raymond Abrezol, pratiquaient la glandouille. Ils s’installaient confortablement, assis ou couchés, fermaient les yeux, respiraient au ralenti et partaient en rêverie, voyageaient sans discipline dans leur esprit, et attendaient ainsi que survienne l’accident de génie. L’historique Eurêka d’Archimède. L’idée de génie. On se réveille vite fait, on note, on dessine.

L’effet d’annonce, c’est de dire que l’on a trouvé et fabriqué avant même d’y avoir pensé. Cela fonctionne, les foules sont crédules et cupides. Nous avons ici les bases d’une méthode pour réussir.

Trouver la bonne idée, dire qu’on va le dire, le dire, dire qu’on la dit et parasiter les esprits. Le capital va vous tomber dessus comme attiré par un puissant aimant, L’appât du gain, « we go where we are attracted to ».

Partez donc en glandouille, et comme Salvador, Thomas, Albert ou Raymond, trouvez l’idée qui fera de vous une réussite capitalistique. Et ensuite, faites du bruit, beaucoup de bruit.

Quelques pistes à explorer, une nouvelle manière d’afficher le temps, un stimulateur universel de notre système immunitaire, une nouvelle conception des appartements urbains, la multiplication naturelle du cerveau, matière blanche et mémoire, l’alimentation personnalisée, la consultation populaire spontanée, la fin de la souffrance humaine, l’éducation vertueuse, le transport zéro énergie, la sécurité sans faille, le bonheur possible.

L’idée de génie c’est bien, avec le génie du discours c’est mieux, avec le génie de l’argent c’est encore bien plus mieux.

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