Une étude de l’Université de Genève montre une association entre la pauvreté dans l’enfance et l’état de santé à un âge avancé. Avoir souffert de précarité dans l’enfance marquerait en effet le corps à vie. Si les conditions socio-économiques et l’hygiène de vie s’améliorent au cours de l’existence, l’impact de ces premières années s’atténuera. Mais il ne s’effacera pas, en particulier chez les femmes.