ARN : de l’hérésie scientifique à la lumière des projecteurs

ARN : de l’hérésie scientifique à la lumière des projecteurs

A l’heure où le monde entier découvre l’usage qui peut être fait de l’ARN et le succès mérité de pionniers industriels du domaine à l’image de Moderna, un petit clin d’œil genevois pour nous rappeler que parmi les pionniers académiques du domaine on compte deux chercheurs genevois, qui se sont juré fidélité il y a près de cinquante ans et ont toujours travaillé sur une forme d’ARN et plus généralement sur les acides nucléiques circulants. Si aujourd’hui on salue le courage des fondateurs de Moderna qui ont capitalisé sur une science émergente, nos chercheurs locaux eurent droit à moins d’égards et furent traités d’hérétiques par la communauté scientifique alors qu’ils décrivaient l’ARN circulant.

Une destinée peu commune que vous pourrez retrouver dans :

“Mon cher collègue, je ne serai jamais recteur” – Une aventure dans le monde de l’Université et de la recherche scientifique suisse.

Maurice Stroun aux éditions de l’Harmattan.

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